La différence entre les deux joueurs n’est pas énorme - le son du NW-WM1Z n’est pas vraiment une mise à niveau directe mais une variante de la signature existante du NW-WM1A. Cela peut peut-être être une source de consternation, alors je vais essayer de l'expliquer plus en détail. Pour commencer, nous commençons par un examen de base des caractéristiques sonores du WM1A. Parmi les deux, le WM1A est le lecteur le plus équilibré, avec un bon mélange de récupération des détails, de dynamique et de mise en scène. La reproduction des basses du NW1A est rapide et percutante avec une bonne extension. Il est plus propre et la détérioration perçue est évidente. Midrange a une clarté de son et l'extrémité supérieure est articulée et immaculée. Cependant, il y a un grain subjectif dans cette bande de fréquences qui donne un léger avantage à la présentation du son par ailleurs douce. Dans l'ensemble, c'est un joueur transparent avec une légère avance.
Le WM1Z présente une signature plus riche avec une section de graves améliorée. J'hésite à faire cette comparaison, mais le WM1Z est en quelque sorte un MDR-Z1R sous forme DAP (aussi l'une des raisons pour lesquelles je préfère en effet l'appariement WM1A-Z1R). La basse est plus pleine avec plus de corps et une décroissance légèrement plus lente, et encore une fois, la diffusion si subtile fait son retour. Midrange sonne légèrement plus en retrait et n'a pas la même certitude que le WM1A. Ce n'est pas aussi clair ni aussi puissant. L'extension de l'extrémité supérieure est plus ou moins égale, avec des niveaux d'articulation similaires et une texture généralement nette. À certains égards, la diffusivité parfois présente sur le WM1Z affaiblit la qualité de la texture du son du DAP et réduit parfois la récupération des détails perçus. Les deux joueurs présentent une bonne image sonore et une imagerie spectaculaire, cette dernière étant facilement parmi les meilleures de sa catégorie.
