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Bonjour, utilisateur d’un boîtier Alpha 7, je suis très satisfait, hormis un petit problème de stabilisation. J’utilise souvent mon boîtier avec l’objectif 24-240 qui est devenu indispensable pour mon type d’utilisation, néanmoins en lumière faible je suis parfois amené à descendre à une vitesse de 1/250 ou voir même 1/125 (je ne veux pas monter plus dans les iso) dans ce cas, je remarque un très léger flou de bouger malgré le stabilisateur activé de l’objectif. Ma question, si j’achète un boîtier Alpha 7 II avec son stabilisateur intégré, est-ce que je peux espérer régler mon problème, je veux dire les deux stabilisateurs sont-ils complémentaires pour plus efficacité ? Qu’elle qu’un a-t-il un retour concernant Alpha 7 II avec l’objectif FE 24-240, pour information mes firmwares sont à jour. cordialement
Résolu ! Accéder à la solution.
Sauf que ça ne répond pas à la question posée par Gcopin90 (sans parler de la remarque sur la vitesse d'obturation, qui ne peut être ni trop courte ni trop longue, mais trop lente ou trop rapide).
Par rapport au boîtier A7, le A7II bénéficie d'une stabilisation mécanique par le capteur.
A ce titre, il faut bien prendre en compte qu'on ne met jamais en activité deux types de stabilisation en série. Il faut choisir entre celle de l'objectif (si elle existe) et celle du boîtier. Sinon, le résultat est encore pire, chaque asservissement cherchant à rattraper l'autre : ça rentre en résonance.
Pour tenter, donc, de répondre à votre question initiale, vu que la stabilisation mécanique du A7II agit sur 5 axes, dont le lacet, il se peut que par effet de bord, cela compense en partie le mouvement induit par le coup de doigt.
Sinon, avec votre A7, si malgré que votre 24-240 dispose d'un asservissement optique, vous avez un léger flou, même avec une vitesse d'obturation au moins égale à l'inverse de la focale utilisée (cette valeur se voulant une précaution, pas une règle), c'est probablement dû à un coup de doigt lors du déclenchement. Autrement dit, un flou de bouger. Il vous faut effectivement (comme préconisé dans la réponse du staff) vous appuyer ou utiliser un pied… ou porter une attention particulière à l'action de votre doigt sur le déclencheur. Là encore, en cas d'utilisation d'un pied, il est impératif d'invalider toute stabilisation : les vibrations des branches du pied, exitées par le déclenchement, peuvent là aussi générer un effet de résonance et l'image risquera d'être floue (ça m'est arrivé pour avoir oublié de l'annuler, alors que les branches de mon pied - pourtant rigide - étaient complètement étirées, donc présentaient une plus grande flexibilité).
EDIT : ma réponse s'est incidemment croisée avec celle de Gcopin90, donc à filtrer en conséquence. Je ne l'ai pas corrigée parce qu'elle présente quelques conseils. Les 1/60e sont jouables, mais uniquement aux focales les plus basses. Sur pied, il faut utiliseer un déclencheur filaire ou radio, bien entendu, pour ke pas faire bouger le boîtier, ou encore utiliser le retardateur. Il faut voir aussi qu'un boîtier hybride est plus difficile à manipuler qu'un reflex, à cause de l'équilibre moins bon à la prise en main.
Bonsoir Gcopin90,
Nous avons posé votre question à notre équipe, et peut-être que leur réponse pourra vous aider. Ils pensent qu'il se pourrait que la vitesse soit trop longue pour obtenir une photo nette, et vous conseillent de paramétrer la vitesse à 1/longueur focale. Ils vous conseillent aussi, si possible, d'utiliser un trépied ou de poser votre appareil photo sur un objet solide pour avoir un peu plus de stabilité dans des conditions de faible luminosité.
Pourriez-vous essayer, s'il vous plaît, et voir si cela vous aide ?
Bien cordialement,
Lorraine_A
Bonjour, merci pour votre réponse. J’utilise très souvent le trépied quand je travaille en RAW, j’utilise également dans certains cas le programme sans trépied qui produit des .jpg et qui fonctionne incroyablement bien. Je connais bien également l’astuce qui consiste à utiliser une vitesse de 1/longueur focale, donc ce qui fait 1/250 pour mon zoom Sony FE de 240 mm de focale. Néanmoins, si je peux descendre cette valeur de deux ou trois stops, je veux dire une vitesse de 1/60 grâce à la stabilisation interne de l’Alpha 7 II, je suis prêt à changer mon Alpha 7 et acheter l’Alpha 7 II. Vraiment la question est en final, est ce que la stabilité boîtier est plus performante que la stabilité objectif et si oui, peut-on descendre de deux ou trois stops.
Très cordialement.
Sauf que ça ne répond pas à la question posée par Gcopin90 (sans parler de la remarque sur la vitesse d'obturation, qui ne peut être ni trop courte ni trop longue, mais trop lente ou trop rapide).
Par rapport au boîtier A7, le A7II bénéficie d'une stabilisation mécanique par le capteur.
A ce titre, il faut bien prendre en compte qu'on ne met jamais en activité deux types de stabilisation en série. Il faut choisir entre celle de l'objectif (si elle existe) et celle du boîtier. Sinon, le résultat est encore pire, chaque asservissement cherchant à rattraper l'autre : ça rentre en résonance.
Pour tenter, donc, de répondre à votre question initiale, vu que la stabilisation mécanique du A7II agit sur 5 axes, dont le lacet, il se peut que par effet de bord, cela compense en partie le mouvement induit par le coup de doigt.
Sinon, avec votre A7, si malgré que votre 24-240 dispose d'un asservissement optique, vous avez un léger flou, même avec une vitesse d'obturation au moins égale à l'inverse de la focale utilisée (cette valeur se voulant une précaution, pas une règle), c'est probablement dû à un coup de doigt lors du déclenchement. Autrement dit, un flou de bouger. Il vous faut effectivement (comme préconisé dans la réponse du staff) vous appuyer ou utiliser un pied… ou porter une attention particulière à l'action de votre doigt sur le déclencheur. Là encore, en cas d'utilisation d'un pied, il est impératif d'invalider toute stabilisation : les vibrations des branches du pied, exitées par le déclenchement, peuvent là aussi générer un effet de résonance et l'image risquera d'être floue (ça m'est arrivé pour avoir oublié de l'annuler, alors que les branches de mon pied - pourtant rigide - étaient complètement étirées, donc présentaient une plus grande flexibilité).
EDIT : ma réponse s'est incidemment croisée avec celle de Gcopin90, donc à filtrer en conséquence. Je ne l'ai pas corrigée parce qu'elle présente quelques conseils. Les 1/60e sont jouables, mais uniquement aux focales les plus basses. Sur pied, il faut utiliseer un déclencheur filaire ou radio, bien entendu, pour ke pas faire bouger le boîtier, ou encore utiliser le retardateur. Il faut voir aussi qu'un boîtier hybride est plus difficile à manipuler qu'un reflex, à cause de l'équilibre moins bon à la prise en main.
Bonjour, en effet cela répond en partie à ma question sur la stabilisation, à savoir «qu’on ne met jamais en activité deux types de stabilisation en série » ce que je ne savais pas, et également que le lacet est une fonctionnalité intéressante en théorie, sachant qu’on n’a peu de retour concernant l’utilisation pratique. Pour le coup de doigt au déclenchement, effectivement dans des situations difficiles, faible vitesse, je retiens ma respiration et je fais attention au coup de doigt, néanmoins, dans le vif de l’action, on n’a pas toujours le bon réflexe conditionné lol. Je crois que la grande difficulté consiste à mesurer l’efficacité de la stabilisation en nombre de " stops " par exemple. Merci pour ce commentaire enrichissant.