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Bonjour,
J'utilise depuis peu un Sony 7s avec un zeiss 35mm 2.8 avec lesquels je m'entends à merveille. Mais ces fameuses bandes sombres qu'on voit, non pas sur les trottoirs, commes les bancs dans la chanson de Brassens, mais sur les images prises sous certains éclairages de scènes ou de vitrines (tungstène?) gênent un peu la sérénité de mon sommeil, même si je sais que je peux les maîtriser en jouant avec la vitesse et l'ouverture. En fait, j'aimerais juste avoir une vague explication du phénomène et surtout connaître les règles qui me permettrait d'agir de manière un peu moins aléatoire sur la chose. Bien sûr, ce phénomène optique n'a rien à voir (enfin j'en suis presque sûr, autant que je m'en souvienne) avec mon matériel actuel...
Merci
Résolu ! Accéder à la solution.
Les éclairages, s'ils proviennent de sources branchées sur le secteur (donc alternatifs 50 Hz en France), séteignent et se rallument à cette fréquence (inversion du sens de passage du cournat). La variation est bien sûr progressive (en fait, sinusoïdale), tout comme la rémanence du filament pour les éclairages tunstène. L'oeil humaine lui aussi a sa proproe rémanence, si bien que ces variations nous sont invisibles. Ce qui n'est pas la cas du capteur d'image, qui lest capable de les enregistrer.
Ainsi, c'est le rapport entre la vitesse d'obturation et cette fréquence de 50 Hz qui peut mettre évidence ces différences d'éclairement lors du balayage du capteur par l'obturateur de l'appareil. On appelle cela un battement fréquentiel ; c'est en fait un problème d'échantillonage.
La résolution passe par l'adoption d'une autre vitesse d'obturation, mais aussi en commutant l'obturation avant électron ique (très rappide) par le choix de l'obturation mécanique.
Les éclairages, s'ils proviennent de sources branchées sur le secteur (donc alternatifs 50 Hz en France), séteignent et se rallument à cette fréquence (inversion du sens de passage du cournat). La variation est bien sûr progressive (en fait, sinusoïdale), tout comme la rémanence du filament pour les éclairages tunstène. L'oeil humaine lui aussi a sa proproe rémanence, si bien que ces variations nous sont invisibles. Ce qui n'est pas la cas du capteur d'image, qui lest capable de les enregistrer.
Ainsi, c'est le rapport entre la vitesse d'obturation et cette fréquence de 50 Hz qui peut mettre évidence ces différences d'éclairement lors du balayage du capteur par l'obturateur de l'appareil. On appelle cela un battement fréquentiel ; c'est en fait un problème d'échantillonage.
La résolution passe par l'adoption d'une autre vitesse d'obturation, mais aussi en commutant l'obturation avant électron ique (très rappide) par le choix de l'obturation mécanique.
Bon sang mais c'est bien sûr! Merci beaucoup 🙂